Content
- Clubpascher : La Plateforme Idéale Pour Vous Procurer Des Produits High Tech
- C’est L’amour À La Gare
- Programme Tv De France 5
- Le Film
- Film
- Critiques Spectateurs
- Prochainement En Salle Du 16 Au 22 Février
- Tf1, France Télévisions, Canal+, Arte, Ocs Les Séries À Ne Pas Manquer En Début D’année
- Brève Rencontre Brief Encounter
- Événements De La Semaine
- Si Vous Aimez Ce Film, Vous Pourriez Aimer
- Avis Sur Brève Rencontre
- Une Femme Sous Influence De John Cassavetes
- Les Films Du Même Genre
Brève Rencontre est un petit chef-d’œuvre de construction. C’est avec ce film que Lean s’annonce comme un poète de cinéma, alternant des images de couloirs souterrains obscurs avec la lumière crue des quais de la gare brusquement éclairés par les trains qui passent. Une atmosphère évocatrice de la liaison coupable entre Alec et Laura.” A un café sur une gare, femme au foyer Laura Jesson rencontre médecin Alec Harvey. Bien qu’ils soient tous deux déjà mariés, ils tombent peu à peu dans l’amour les uns avec les autres. Ils continuent de se réunir tous les jeudis dans le petit café, mais ils savent que leur amour est impossible. Critique-film est le site de tous les passionnés de cinéma et de séries TV. Retrouvez ici toutes les critiques, actualités et événements autour de votre univers préféré. Le propre d’une histoire d’amour ferroviaire, ce sont les trains qu’on ne prend pas, ceux qu’on aurait voulu prendre, ceux qu’on regarde s’éloigner… et ceux qu’on quitte au tout dernier moment, alors que le coup de sifflet vient juste de retentir. La gare offre une tension intense et envoûtante à ce récit. Il ne faudrait surtout pas oublier que David Lean est l’auteur d’autres films que Le Pont de la rivière Kwaï, Lawrence d’Arabie et le docteur Jivago. La preuve en est ici avec ce bouleversant mélodrame, d’une beauté absolument indescriptible. Chef d’oeuvre de poésie, d’émotion et de beauté, Brêve rencontre est l’un des plus beaux films d’amour qu’il m’aient été permis de voir. Une histoire pourtant simple, mais incroyabelement …
- Simple coïncidence ou heureux hasard, le titre de cette chanson correspond tout à fait à l’état psychologique dans lequel se trouve notre héroïne après sa liaison passionnelle…
- Mais leur amour devient rapidement source de torture.
- Laura Jesson, femme au foyer, se rend tous les jeudis à Milford, dans la banlieue londonienne pour effectuer quelques achats.
- Mais son monologue intérieur, par le biais d’une voix off pour une fois employée à bon escient, ne lui procure aucune satisfaction expiatoire.
- @rere15 plus de six ans après la rédaction de cette micro critique je ne la referais pas de la même façon.
- A travers ses yeux, nous voyons tous les sentiments romantiques passer en revue, sans que le mythe de l’amour éternel ne puisse ralentir cette ronde du désespoir.
- Leurs sentiments seront intenses et réciproques, mais leur histoire d’amour est vouée à l’échec à cause de leurs mariages respectifs.
Tous les jeudis, Laura Jesson se rend à Milford pour faire ses courses et aller au cinéma. Alors qu’elle attend son train au café de la gare, cette femme au foyer à la vie rangée croise par hasard Alec Harvey, un médecin dont elle va tomber éperdument amoureuse. Leurs sentiments seront intenses et réciproques, mais leur histoire d’amour est vouée à l’échec à cause de leurs mariages respectifs. Elle a maintes fois rencontré cet homme au buffet de la gare, un drôle d’amour coupable est né, dont ils ont su qu’il ne déboucherait sur rien. Le film décrit avec minutie cette brève rencontre et la séparation au bout du chemin. De ce presque rien, il réussit à faire toute une histoire. Laura est femme au foyer, mère de deux enfants, elle vit dans la banlieue de Londres. Une fois par semaine, elle prend le train pour Milford, où elle fait des courses et en profite pour aller au cinéma. Un jour, à la gare, elle rencontre Alec, un médecin. Il l’aide à se débarrasser d’une poussière dans l’œil. La complicité cède rapidement la place à un amour immense. Immense mais impossible, car Alec et Laura sont tous les deux mariés et très attachés aux convenances. Produit par Noël Coward d’après sa propre pièce, le film commence par l’arrivée monumentale d’un train entouré de fumées. Puis on suit un employé du chemin de fer qui nous conduit au buffet de la gare de Mitford, qui sera le décor quasiment unique du film. Dans un coin d’un petit café, un couple se tient en retrait.La femme s’appelle Laura Jesson.
Table of Contents
Clubpascher : La Plateforme Idéale Pour Vous Procurer Des Produits High Tech
En savoir plus sur notre politique de confidentialité. Laura Jesson, femme au foyer, se rend tous les jeudis à Milford, dans la banlieue londonienne pour effectuer quelques achats. Sur le quai de la gare, elle fait la connaissance d’Alec Harvey, un médecin marié et père de famille… Ce film — qui est une de plus belles histoires d’amour — merite une version en d’autres langues que l’anglais. Simple coïncidence ou heureux hasard, le titre de cette chanson correspond tout à fait à l’état psychologique dans lequel se trouve notre héroïne après sa liaison passionnelle… Claire Simon a choisi de porter à l’écran l’entretien que Yann Andréa, compagnon de Marguerite Duras, a eu début, sur 2 jours, en octobre 1982, à sa demande, avec la journaliste et femme de lettres Michèle Manceaux. Enregistrer mon nom, email et site web dans ce navigateur pour la prochaine fois que je commenterai. Le cliché de la fille seule, regardant des films sous une couette, en train de… Brève rencontre est à découvrir au cours de la soirée cinéma d’Arte avec Affaire non classée, en film de deuxième partie de soirée. Après avoir consulté un produit, regardez ici pour revenir simplement sur les pages qui vous intéressent. Alors que ce film est de toute beauté, le film n’est pas restitué à la bonne vitesse (phénomène fréquent) et dure 82 minutes au lieu des 86 au cinéma, tout ça à cause des vitesses différentes au cinéma (24 images/s) et à la TV (25/s). 50 ans avant Clint Eastwood et sa route de Madison, “Brève Rencontre” nous raconte l’histoire d’un coup de foudre impossible entre deux êtres que tout oppose. Un problème s’est produit lors du filtrage des commentaires.
Ciné Cinéfil, 13h15, film ON S’ACCORDE généralement pour dire que c’est en 1945, avec Brève rencontre, que la carrière de David Lean commence . Si ce film est devenu un classique, c’est que sa grisaille britannique et la fragilité de l’histoire d’amour qu’il raconte en font un mélodrame retenu, à la limite du documentaire. L’actrice britannique n’a jamais réussi à s’imposer sur le grand écran, privilégiant les planches. En 1969, après plus de dix d’absence, elle a conclu sa carrière dans le septième art en intégrant le casting du drame Les Belles Années de miss Brodie, avec une certaine Maggie Smith dans le rôle principal. Quant au médecin, il est incarné par Trevor Howard, dont la carrière au cinéma fut bien plus prolifique que sa partenaire de jeu, avec une grosse centaine de tournages. Brève Rencontre n’est en rien adapté d’une histoire vraie. Il s’inspire de la courte pièce, Still Life, écrite par Noël Coward et jouée pour la première fois à Phoenix en 1936. La gare de Mitford accueille une grande majorité de scènes avec la dernière rencontre entre Laura et Alec comme fer de lance. Dès leur seconde rencontre, Laura et Alec sont fascinés l’un par l’autre, happés par l’attraction mutuelle. D’un jeudi après-midi à l’autre, d’une séance de cinéma à une sortie dans la campagne en voiture, leurs rencontres deviennent une drogue. Mais ils sont déchirés par un sentiment de culpabilité. Ce ne sont pas tant les convenances qui les torturent, que le sentiment de trahison à l’égard de ceux qu’ils aiment, le remords à chaque mensonge proféré, d’autant plus violent qu’ils ne se doutent de rien. Vous pouvez également à tout moment revoir vos options en matière de ciblage.
C’est L’amour À La Gare
Nous n’avons pas souvenir d’avoir déjà vu une histoire d’amour plus triste au cinéma que celle-ci. Ce qui est avant tout un formidable gage de qualité pour Brève rencontre, la réussite la plus simple et modeste dans l’illustre filmographie de David Lean. Il n’y faut en effet pas grand-chose à ce titan du cinéma pour évoquer la nature épineuse de l’amour, si fugace et néanmoins si enthousiasmant les rares fois qu’il traverse notre existence en coup de vent. Tandis que la carrière de Trevor Howard n’allait plus lui réserver à l’avenir de rôles aussi subtils et à fleur de peau, celle de Celia Johnson était quasiment inexistante par la suite. Ce qui constitue tout de même une perte cruelle pour l’Histoire du cinéma, tant l’actrice fait vivre son personnage tiraillé entre la raison et les sentiments avec un naturel et une délicatesse inouïs. Elle n’est guère dépeinte comme une héroïne sans reproche. Or, sa faillite morale la rend curieusement encore plus noble, grâce à la lucidité avec laquelle elle analyse après coup le cycle de vie accéléré de cette parenthèse éclatante dans un quotidien routinier. A travers ses yeux, nous voyons tous les sentiments romantiques passer en revue, sans que le mythe de l’amour éternel ne puisse ralentir cette ronde du désespoir. Il ne s’est rien passé ou en tout cas rien qui pourrait dans les faits être interprété comme un adultère avéré. Et pourtant, la liaison rapidement avortée entre un homme et une femme des plus ordinaires laisse des traces à la fois chez ces amoureux transis et chez nous, bouleversés que nous sommes par le récit sans fausse note de leur tragédie romantique. Car l’impact de Brève rencontre est précisément si puissant parce que la narration n’y force à aucun moment le trait. Sur un air agité de Sergueï Rachmaninov, l’intrigue peut essentiellement se résumer à une confession en panne d’interlocuteur. La première cause de détresse affective se situe pour Laura dans cette impossibilité de communiquer avec qui que ce soit, de partager ses joies et ses peines honteuses avec un confident. Le scénario brillant de Anthony Havelock-Allan, Lean et Ronald Neame, inspiré d’une pièce de l’intellectuel ironique par excellence Noël Coward, lui a certes trouvé un substitut en la personne du spectateur. Mais son monologue intérieur, par le biais d’une voix off pour une fois employée à bon escient, ne lui procure aucune satisfaction expiatoire. Son dilemme moral – bien qu’il devienne aussi un peu le nôtre puisque nous assistons en tant que témoins voyeurs à cette affaire interdite par la convention et la bienséance – ne se soldera ici par aucune conclusion heureuse. Il perdurera, tout comme l’interrogation terrible sur une réalité parallèle aux choix moins lâches.
Laura Jesson, une femme mariée, se rend tous les jeudis a Milford, dans la banlieue londonienne pour effectuer quelques achats. Elle rencontre Alec Havey, un medecin marié également. Tous deux vont s’éprendre l’un de l’autre et vivre une folle passion… © Copyright 2022 Critique-film.fr | Tous droits réservés. La mort de George Floyd et le mouvement « Black lives matter » ont rapidement trouvé un écho sur les écrans américains, mais aucune œuvre n’avait su explorer les arcanes de cette tragédie de façon aussi profonde, complexe et politisée que Candyman. De nos jours, les tâches de l’homme sont rendues faciles dans tous les secteurs d’activités grâce à l’évolution de la technologie. Ce site est une création intellectuelle originale qui, par conséquent entre dans le champ de protection du droit d’auteur. Son contenu est également protégé par des droits de propriété intellectuelle et/ou industrielle. Toute personne qui portera atteinte aux droits de propriété intellectuelle attachés aux différents objets de ce site internet se rend coupable du délit de contrefaçon et est passible des sanctions pénales prévues par la loi. @rere15 plus de six ans après la rédaction de cette micro critique je ne la referais pas de la même façon. Et c’était une petite référence à la chanson “Il n’y a pas d’amour heureux” de Georges Brassens dont je connais mieux les versions de Danielle Darrieux ou Françoise Hardy.
Programme Tv De France 5
Arte relate une Brève Rencontre, à 20h50 ce lundi 3 mai 2021. Un homme et une femme, chacun mariés de leur côté, se rencontrent dans une gare avant de se séparer au même endroit, après une liaison platonique. David Lean met en scène une histoire d’amour intense mais purement psychique entre un homme et une femme mariés, dans Brève rencontre, à suivre en prime ce lundi 3 mai 2021. Le point focal du film est la gare de Carnforth, au nord de l’Angleterre. Des express y passent dans un vacarme fracassant, laissant sur leur passage, fumée et escarbilles. Chaque jeudi, Laura Jesson descend d’un omnibus pour faire ses courses ; elle revient en fin d’après-midi chez elle pour retrouver son mari Fred et leurs deux jeunes enfants. J’accepte de recevoir vos e-mails et confirme avoir pris connaissance de votre politique de confidentialité et mentions légales. Sur le quai de la gare, une mère de famille, qui a une escarbille dans l’oeil, est secourue par un médecin de passage qui la soulage de sa douleur. Sans réfléchir un instant, ils se revoient et, très vite, deviennent amants. Mais leur amour devient rapidement source de torture. Déchirés entre passion et devoir, ils ne savent que choisir… Ce n’est pas souvent que le mot “mélo” est employé de façon positive, il le mérite pourtant. Sans doute – osons le superlatif – l’un des plus beaux films d’amour de l’histoire du cinéma, porté par deux magnifiques acteurs, Celia Johnson et Trevor Howard. Il partira exercer la médecine à Johannesburg, elle retournera vivre auprès de Fred, de son fils et de sa fille. Leurs dernières minutes, à la buvette de la gare, alors qu’Alec va prendre son train, sont gâchées par une bavarde qui jacasse. Laura est tentée de se jeter sous les roues d’un express qui passe, sirènes hurlantes.
L’homme, c’est le docteur Alec Harvey, interprété avec une sèche virilité par Trevor Howard. Nous ne le savons pas encore mais ces deux-là sont en train de se dire au revoir à jamais. Plus tard, rentrée chez elle, Laura se plonge dans ses souvenirs. Tandis que la radio joue le Concerto pour piano de Rachmaninoff, elle s’adresse, en voix off, à Fred, son mari, pour une confession impossible. C’est à lui qu’elle raconte en images ce qui lui est arrivé. La période anglaise des débuts de la filmographie de David Lean n’est peut-être pas aussi prestigieuse que la suivante, avec ses cinq épopées qui allaient conquérir un public international en quête d’émotions et de visuels plus grands que nature. Cette première partie de l’œuvre du réalisateur est avant tout ponctuée d’adaptations littéraires respectueuses et respectables et d’autres films de genre débordant du spleen britannique propre aux années 1940. Parmi cette dizaine de titres se cache néanmoins un véritable chef-d’œuvre, le film le plus intimiste de David Lean, soit, mais surtout une magnifique histoire d’amour qui nous inspire à chaque vision une mélancolie sublime ! Brève rencontre est la preuve à la fois précoce et ultime de la maestria cinématographique du réalisateur, qui y suscite des sentiments intenses à partir d’une histoire à la banalité confondante. Le film de David Lean est disponible sur le site d’Arte jusqu’au 1er juin. Histoire d’amour impossible, dans laquelle le décor principal, une gare, joue un rôle immense. Dans la banlieue d’un Londres enseveli par la grisaille, Laura Jesson, une femme au foyer, emprunte tous les jeudis un train dans une ville avoisinant Milford. Dans la foulée, elle retrouve ses deux enfants et son mari dans un pavillon coquet. Alors qu’elle reçoit un bout de bois dans l’œil sur le quai de la gare, un médecin présent aux abords vient à son secours. Laura et Alec se croisent ensuite à plusieurs reprises, attirés l’un envers l’autre sans jamais succomber, désireux de ne pas mettre l’équilibre familial en péril. Quand Laura sait qu’elle ne reverra plus jamais son bel inconnu, elle se plonge alors dans ses souvenirs.
Le Film
Arte TV a récemment diffusé « brève rencontre », film réalisé en1945 par David Lean d’après une pièce de théâtre de Noel Coward, Grand prix du Festival de Cannes l’année suivante. J’ai, en son temps, exprimé ma profonde désapprobation devant les versions uniformément médiocres de ce chef d’oeuvre du cinéma anglais. C’est donc avec beaucoup d’intérêt et d’espoir que j’ai accueilli ce premier blu-ray, prenant aussi en compte la discrète mais tentante promotion qui a accompagné sa sortie. Une jeune femme (Célia Johnson) rencontre un médecin dans une gare de province. Pour respecter les convenances autant que pour sauver leurs foyers respectifs, Alec accepte un poste en Afrique du Sud. Malgré ce pitch très mince, “Brief Encounter” est un film bouleversant. Après avoir dit adieu à son amant l’après-midi même, Laura a le cœur brisé, mais la nostalgie qui s’insinue en elle ne lui fait pas oublier qu’elle doit faire face à ses responsabilités en tant que mère et épouse. Elle imagine alors comment elle pourrait tout avouer à son mari, et c’est ainsi que le film est construit à la manière d’un long flashback narré en voix-off. Perdue dans ses pensées, Laura se livre intimement au spectateur, et si au fond d’elle-même elle a honte d’avoir bafoué les liens sacrés du mariage, elle est également consciente d’avoir vécu une aventure d’une intensité rare. Le site est soumis au respect de la loi française du 6 janvier 1978, dite ‘Informatique & Liberté’; il a fait l’objet d’une déclaration auprès de la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés . Conformément à l’article 27 de la loi du 6 janvier 1978 dite ‘Informatique & Liberté’, vous disposez d’un droit d’accès, de rectification et de suppression relatif aux données vous concernant dans les conditions de l’article 34 de ladite loi. “Brève rencontre” A voir gratuitement sur le site d’Arte.
- C’est à lui qu’elle raconte en images ce qui lui est arrivé.
- Il s’inspire de la courte pièce, Still Life, écrite par Noël Coward et jouée pour la première fois à Phoenix en 1936.
- Une atmosphère évocatrice de la liaison coupable entre Alec et Laura.”
- La période anglaise des débuts de la filmographie de David Lean n’est peut-être pas aussi prestigieuse que la suivante, avec ses cinq épopées qui allaient conquérir un public international en quête d’émotions et de visuels plus grands que nature.
- Ils continuent de se réunir tous les jeudis dans le petit café, mais ils savent que leur amour est impossible.
- Son dilemme moral – bien qu’il devienne aussi un peu le nôtre puisque nous assistons en tant que témoins voyeurs à cette affaire interdite par la convention et la bienséance – ne se soldera ici par aucune conclusion heureuse.
- Une histoire pourtant simple, mais incroyabelement …
- 50 ans avant Clint Eastwood et sa route de Madison, “Brève Rencontre” nous raconte l’histoire d’un coup de foudre impossible entre deux êtres que tout oppose.
Qualité, fiabilité et indépendance en sont les maîtres mots. Les amours adultères, tourmentées et frivoles d’une mère de famille et d’un médecin, qui n’osent sacrifier à leur passion leurs foyers respectifs. Les yeux vibrants de Celia Jonhson, l’air enjoué de Trevor Howard, la superbe photo, l’aspect printanier, le sentiment que cette histoire sera tragique et èphémère ? Toujours est-il que cette “Brève rencontre” s’avère très touchante. Une belle romance, loin du pensum, qui marque par sa simplicité et qui pourrait réconcilier les réfractaires au mélos.