Content
- Top 10 : Nos Meilleurs Films De 2021
- El Infierno : Grandeur Et Décadence D’un Porte
- Top Des 100 Meilleurs Films Thrillers N°51 : Jai Rencontré Le Diable
- The Irishman
- Sympathy For Mr Vengeance
- Résumé De J’ai Rencontré Le Diable
- Euphoria : La Saison 2 Fait Toujours Plus Daccros, La Saison 3 Confirmée
- Léquipage Dedens Zero Repart Dans Le Cosmos Pour Une Saison 2
- Dernières Critiques
- Catching Killers, Le 4 Novembre Sur Netflix
- Les 10 Films Et Séries À Ne Pas Manquer En Novembre
- Programme Tv De France 3
- Programme Tv De Tf1
- Stand By Me Doraemon Devient Doraemon Et Moi Et Arrive Bientôt Sur Netflix
- Top Articles
- How I Met Your Father, The Journalist, The Afterparty 10 Séries À Ne Pas Rater En Janvier 2022
- On Connaît Enfin La Date De Lancement De La Série Obi
L’histoire et le casting promettent une série aussi intrigante que captivante. On l’a aussi vu dans Deliver Us from Evil , thriller musclé où il joue un homme pourchassant un tueur à gages responsable de la mort de son frère. “Cette confrontation fun et violence entre deux mammouths du box-office [coréen] Lee Jung-jae et Hwang Jung-min” sortira en mars 2022 en Blu-ray grâce à Spectrum Films et L’Atelier d’images, ont annoncé ces deux éditeurs. Tiré du webtoon [bande-dessinée publiée en ligne, ndlr] créé par l’artiste Hongjacga, Dr Brain met en scène Lee Sun-Kyun, repéré dans le film oscarisé Parasite, dans le rôle-titre.
Cette comédie aux airs de Desperate Housewives et de Big Little Lies apporte un regard intime et féminin sur les expériences des immigrants en Australie. La donne change lorsqu’un capitaine de police travaillant avec la police japonaise infiltre ce groupe et se lie d’amitié avec son charismatique leader, incarné par Song Kang-ho . Le film impressionne par la noirceur de son propos, ses scènes d’action virtuoses et un final inoubliable rythmé sur le Boléro de Maurice Ravel. Heo Sung-tae, alias numéro 101, le gangster, apparaît aussi dans le film.
Le succès ahurissant de Squid Game a forcé le regard du reste du monde, qui règle désormais son horloge à l’heure de Séoul. C’est à minuit, le vendredi, dans la capitale coréenne qu’apparaissent nouveaux épisodes et nouvelles saisons. Deux séries proposées – comme Squid Game – par des cinéastes établis. C’est la toute première série sud-coréenne originale de la plateforme à la pomme. Ce thriller haletant mêle la science-fiction et l’horreur psychologique. Écrit et réalisé par l’un des symboles du nouveau cinéma sud-coréen, Kim Jee-Woon (A Bittersweet Life, J’ai rencontré le diable, The Age of Shadows), il est notamment incarné par Lee Sun-Kyun et Park Hee-soon . Composée de six épisodes, la série courte raconte l’histoire de Sewon, un brillant scientifique spécialiste du cerveau. Prêt à tout pour découvrir qui a tué sa femme et son fils, il se lance dans des expérimentations scientifiques.
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Top 10 : Nos Meilleurs Films De 2021
Elle y raconte le succès de son premier album, Brol, les concerts, son ascension, les plateaux télé, les paillettes et «le fragile équilibre qu’elle a trouvé entre les joies et la solitude accompagnant la notoriété », détaille la plateforme. Dans ce documentaire co-réalisé par Sébastien Rensonnet et Brice VDH , c’est la première fois que la chanteuse se livre et parle de sa vie personnelle d’une manière aussi intime.
Les rebondissements et les enjeux de la série sont finalement plus proches de ceux de Game of thrones que de ceux de The walking dead. Les paysages, les décors, les costumes et la photographie sont tout d’abord d’une beauté irréelle. De la même façon, si la scène de l’accouchement est impressionnante (sans être insupportable), je me questionne sur l’utilité de l’avoir étirée sur une aussi grande durée. On retrouve ici cette capacité à faire se faufiler la caméra dans tous les recoins d’un décor ou d’une pièce, dès la première scène sur le pont, puis évidemment lors de la fameuse scène de l’accouchement, tournée en un seul plan séquence d’une petite demi-heure. Disons-le, le résultat n’est pas désagréable à regarder, au contraire. Le problème, c’est que quand les mouvements de caméra deviennent un peu trop visibles , ils nuisent à la crédibilité de la scène et à mon implication dans l’appréhension de la psychologie des personnages.
Avec ces images restaurées, les spectateurs pourront plonger dans l’intimité de ce groupe iconique et vivre leurs derniers moments avant cette séparation légendaire qui a bousculé le monde de la musique. Il faut absolument voir Joint Security Area de Park Chan-wook, thriller hitchcockien situé dans la zone démilitarisée entre la Corée du Sud et la Corée du Nord. Une enquêtrice suisse dépêchée pour enquêter sur la mort de deux soldats nord-coréens se rend compte que les divers témoignages des suspects rendent son travail impossible… Apparu brièvement dans Squid Game, Gong Yoo est un des acteurs les plus en vue du cinéma coréen. Si le grand public le connaît pour l’avoir vu en héros pleutre dans Dernier train pour Busan, efficace relecture du film de zombies, il ignore le reste de son travail, plus dramatique. L’autre production coréenne que nous avons beaucoup abordé ces dernières années, également un phénomène international, estParasite, qui a remporté l’Oscar.
El Infierno : Grandeur Et Décadence D’un Porte
Le duo est incarné par les célèbres Paul Rudd (Ant-Man) et Will Ferrell qui montrent ici leur capacité à passer de la comédie au drame, plongeant le show dans une ambiance inquiétante. Du côté de la réalisation, on retrouve Michael Showalter et Jesse Peretz et Georgia Pritchett, connue pour son travail sur Veep ou Succession, est au scénario.
Les états d’âmes sentimentaux des couples aisés américains n’intéressent probablement plus grand monde aujourd’hui. Et ce ne sont pas les morceaux de bravoures du film (la dispute, la démonstration d’Adam Driver au restaurant), trop visiblement brillants, qui parviennent à hisser le film à des niveaux supérieurs. Le résultat se regarde facilement, sans une seconde d’ennui, tellement le script est fluide et l’intrigue passionnante.
- Avec ces images restaurées, les spectateurs pourront plonger dans l’intimité de ce groupe iconique et vivre leurs derniers moments avant cette séparation légendaire qui a bousculé le monde de la musique.
- Un thriller sud-coréen sous hormone à la fois gore, implacable et facétieux.
- Qui plus est, le film est d’autant plus intrigant qu’il baigne dans la culture nippone, et offre une autre conception de l’horreur Un must-seen pour quiconque veut parfaire sa culture cinématographique.
- Les rebondissements et les enjeux de la série sont finalement plus proches de ceux de Game of thrones que de ceux de The walking dead.
- Composée de six épisodes, la série courte raconte l’histoire de Sewon, un brillant scientifique spécialiste du cerveau.
- Les sermons de minuit est une série d’horreur qui ne fait pas peur, une comédie romantique qui se termine mal, un Stranger things triste et réussi.
- En huit épisodes, ce polar musclé nous immerge au sein de la pègre coréenne, sa violence et ses costumes de luxe.
- Prêt à tout pour découvrir qui a tué sa femme et son fils, il se lance dans des expérimentations scientifiques.
Après le premier Evil Dead, Sam Raimi enchaîne plusieurs échecs et n’arrive pas à rebondir. Si le film existe, c’est grâce à Stephen King, fan du premier opus, qui pousse le producteur Dino de Laurentiis à financer une suite. Mêlant comédie et horreur, Evil Dead 2 s’éloigne du sérieux du premier film et voit Ash acquérir son emblématique tronçonneuse. En 2029, la brigade de police d’élite Illang combat un groupe terroriste qui s’oppose à la réunification des deux Corées… Mais un autre ennemi guette dans l’ombre. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées. Bonne nouvelle, le nouveau film de Park Hoon-jung arrive le 24 aout prochain en Corée du Sud et on l’espère sera aussi efficace que ses derniers projets. Fritz Bauer), mais il sera intéressant de plonger dans les arcanes de cette traque complexe. À noter que le film, avant sa sortie sur Netflix, aura eu le temps de faire la clôture du Festival du film américain de Deauville. Marathon de monstruosité, J’ai rencontré le Diable n’est pas de ces polars sales et poisseux qu’on intellectualise. Une œuvre qui prend un malin plaisir à s’affranchir des règles habituelles du polar pour mieux aller à l’essentiel.
Assez vite la série se place plutôt dans le camp de The Leftovers que dans celui de The Walking Dead – l’occurrence surnaturelle est là pour mettre en mouvement une version horrifique de la comédie humaine. Les trois premiers épisodes détaillent l’appropriation de la mort annoncée d’une mère célibataire par une secte, la Nouvelle Vérité, fondée par un jeune homme au visage lisse (Yoo Ah-in). Une avocate (Kim Hyun-joo) et un policier (Yang Ik-june) tentent de protéger la victime, sinon des forces occultes, au moins des menées sectaires. Kingdom est une série coréenne de zombies, qui se déroule au Moyen-âge. C’est sûrement ce mélange étonnant de profondeur historique, de roman-photo, de film noir et de belles images (les voyages de Philip sont en particulier magnifiquement filmés) qui rend la série si addictive. Le casting est également impérial, Claire Foy et Olivia Coleman en tête. Les spécificités de la saison 4, avec l’introduction de deux personnages majeurs , ne modifient en rien ce que je pense de la série. Le deuxième niveau, ce sont bien sûr les anecdotes à propos de la famille royale.
Créateur du site un soir où je ne trouvais pas ce que je voulais, je veux depuis partager toutes les infos sur le cinéma asiatique.
Top Des 100 Meilleurs Films Thrillers N°51 : Jai Rencontré Le Diable
Il est non seulement un voyage agréable au soleil qui nous fait découvrir l’amour fou d’une ville entière pour un footballeur, mais aussi un intéressant aperçu de la jeunesse d’un apprenti cinéaste. Les sermons de minuit est une série d’horreur qui ne fait pas peur, une comédie romantique qui se termine mal, un Stranger things triste et réussi. Créations originales, documentaires, blockbusters… En novembre, de nouvelles productions s’ajoutent aux catalogues des plateformes de SVOD.
Uncut gems fait partie de ces films toboggans qui vous emportent dans un tourbillon stylistique duquel il est impossible de sortir. Un film intéressant, qui propose de beaux pics d’émotion (le procès par exemple), mais qui est limité par un synopsis qui suit un chemin très balisé et qui n’évite pas certaines balourdises (comme la scène finale). A noter que Mundruczo a vécu avec sa femme une situation similaire à celle que montre le film. Le film est porté à bout de bras par la performance de Vanessa Kirby, impressionnante de maîtrise et d’intériorité, en route pour le prix d’interprétation aux Oscars après l’avoir reçu à Venise. Elle est épaulée brillamment par le reste du casting, en particulier Shia LaBeouf. Dans cette production Netflix, la réalisatrice néo-zélandaise filme de magnifiques paysages baignés d’une lumière splendide. Le film est beau comme un Amarcord assagi, trouvant une énergie brute et solaire dans le magnifique décor de la baie de Naples.
Chaque épisode est centré sur une thématique ou une anecdote et se concentre pratiquement sur ce seul sujet. Comme ici la série ne compte que quatre épisodes, on va quand même jusqu’au bout, pour assister à une fin ratée, dans laquelle chaque personnage pousse le curseur de ses caractéristiques binaires au maximum, alors que le dernier plan offre une happy end typiquement netflixienne. Cette mini-série est une satire sociale australienne qui a fait l’ouverture du festival Séries Mania 2021 au Panorama international. L’intrigue se déroule dans un quartier huppé de Sydney où vit Sarah Beasley, une influenceuse fortunée.
The Irishman
Après un 2 Sœurs qui ne m’avait guère emballé – voire même particulièrement ennuyé pour être complètement sincère – Kim Jee-Woon, dont je dois toujours voir A bittersweet life, livre un polar remarquable, dérangeant, intense et presque jubilatoire porté par deux comédiens excellents. Déjà remarqué dans le très bon Old Boy, Choi Min Sik est une nouvelle fois hallucinant en un tueur ordurier, effroyable et sans pitié. Lee Byung-Hun, plus sobre, n’est pas en reste face à lui dans le rôle du vengeur impassible et sadique. La mise en scène captive le spectateur grâce à une réalisation tantôt nerveuse et enlevée, tantôt calme et oppressante. Cette gestion du rythme et ce sens du cadrage sont deux atouts indéniables du film de Kim Jee-Woon.
Evie, sa gouvernante, l’aide avec ses trois enfants et l’entretien de sa maison.
Night in paradise oscille continuellement entre une violence typiquement coréenne à la limite du sadisme, et la chronique d’une triste romance entre deux êtres condamnés à mourir. Les températures commencent à chuter et les plateformes de streaming deviennent nos meilleurs alliés pour lutter contre les longues journées pluvieuses. Ce mois-ci, les plateformes telles que Netflix, Disney+, Apple TV+ ou encore OCS proposent des productions originales et variées pour voyager, rire, frissonner, apprendre ou encore danser. Loin de l’humour grinçant de Squid Game, The Fortress est une des fresques historiques les plus impressionnantes de ces dernières années. Le long-métrage permet également de découvrir une autre facette du travail de Hwang Dong-hyeok, un peu plus austère, mais tout aussi spectaculaire. Ji-Woo, la protagoniste interprétée par Han So-hee, se retrouve plongée dans ces milieux très masculins et virils, la pègre et la police, et doit travailler deux fois plus pour s’y affirmer. Elle le fait d’abord à la force de ses poings puis en faisant preuve d’une loyauté sans faille envers Choi Mu-Jin. Cela crée de fortes tensions, notamment lorsque la police s’attaque à Dongcheon. Ji-Woo doit mener l’affrontement avec ses collègues mais aussi défendre son gang tout en évitant de mettre sa couverture en péril.
Sympathy For Mr Vengeance
On ne regrettera que la dernière demie heure, presque superflue, qui rend cette vengeance sans limites un brin répétitive malgré une montée progressive dans la violence et les actions désespérées et extrêmes. Cette dernière réserve n’empêche toutefois pas le spectateur de prendre son pied comme devant un bon Tarantino car ce J’ai rencontré le diable est sans aucun doute l’un des meilleurs films de cette année 2011. Après l’avalanche qu’a provoqué Squid Game sur Netflix, Apple TV+ embarque dans la même aventure en diffusant Dr Brain, sa première série sud-coréenne originale. Attendue sur la plateforme dès le 4 novembre, elle a été écrite et réalisée par Kim Jee-Woon, à qui l’ont doit notamment A Bittersweet Life , J’ai rencontré le diable ou The Age of Shadows . Le cinéaste, considéré comme le symbole du nouveau cinéma sud-coréen, signe ici sa toute première série. Lee Byung-hun est l’une des plus grandes stars du cinéma sud-coréen.
Elle montre un homme seul et terrifié dans une cafétéria de Séoul, pendant qu’autour de lui des jeunes gens cherchent sur Internet des vidéos montrant d’étranges créatures s’abattant sur des humains qui se sont vus signifier leur damnation quelques minutes, jours ou années plus tôt. Bientôt des géants humanoïdes charbonneux surgissent et entreprennent de le démembrer avant de l’incinérer et de disparaître dans une autre dimension. La plateforme aux grandes oreilles proposera elle aussi un documentaire musical et ce dernier est attendu depuis plusieurs années. Initialement prévu au cinéma, il sera finalement diffusé sur Disney+ sous la forme d’une mini-série en trois parties. Il se focalise sur le dernier projet des Beatles en studio avant leur séparation en 1970. Des sessions d’enregistrement de leur dernier album au concert mythique sur le toit du 3 Savile Row à Londres, le documentaire compile 60 heures d’images inédites et plus de 150 heures d’audio jamais écoutées. Ce projet titanesque donne lieu à un film de six heures, réalisé par Peter Jackson .
C’est avec un arrière-goût de sang dans la bouche que l’on ressort de ce thriller frénétique et ultra-violent, nouvelle petite perle en provenance du pays du Matin Calme. Mais calme, J’ai rencontré le diable ne l’est pas vraiment, puisqu’il est exactement le type de film qui n’en finira pas de choquer, et par conséquent de diviser.
D’un côté un jeune truand dont on a tué la soeur et qui s’est vengé en agressant un boss de la pègre, de l’autre une jeune fille atteinte d’une maladie incurable. Ces deux-là vont se rapprocher dans l’atmosphère élégiaque de l’île de Jeju, au fil de scènes marquées par l’omniprésence de la mort. Après des créations originales sur Ted Bundy et Billy Milligan, Netflix dévoile un tout nouveau documentaire sur le sujet. Dans Catching Killers, des détectives et enquêteurs racontent l’histoire de crimes qui les ont marqués. Ces derniers ont en effet enquêté sur ces affaires célèbres et dévoilent aux spectateurs leurs méthodes de travail et les secrets de leur métier. Le documentaire, rythmé par des images d’archives, des témoignages, n’est pas sans rappeler Mindhunter. L’occasion pour les fans de true crime de plonger dans cet univers sombre et mystérieux.
Résumé De J’ai Rencontré Le Diable
Il va tenter d’accéder aux souvenirs des personnes décédées en connectant leur cerveau au sien afin d’exploiter toutes leurs informations. Ces dernières vont cependant le hanter et le dérouter, la limite entre rêve et réalité étant sans cesse remise en question. C’est donc une histoire de vengeance, sur fond de trafic de drogue et de guerre des gangs. Rien de très original à première vue et pourtant, My Name se révèle être d’une efficacité redoutable. La série de Kim Jin-min assume l’influence des canons du film noir sud-coréen, de Park Chan-wook à Kim Jee-woon (J’ai rencontré le Diable) en passant par Na Hong-jin . Le cinéma sud-coréen est connu pour ses thrillers d’action musclés. My Name ne déroge pas à la règle et déploie une maîtrise impressionnante dans les chorégraphies et la mise en scène de ses affrontements. Au couteau, à la matraque ou à mains nues, le spectateur ressent chaque coup porté comme dévastateur et ne peut s’empêcher de frissonner tant ils semblent réalistes et palpables. Ces scènes, véritable atout de la série, sont d’une fluidité et d’une inventivité remarquables, limitant les coupes et osant parfois le plan-séquence pour souligner la qualité des chorégraphies.
Les rares survivants vont alors devoir lutter contre ces créatures de l’enfer et l’environnement hostile durant cette très longue nuit. 30 jours de nuit est l’adaptation du comic book éponyme de Steve Niles et Ben Templesmith. Porté par un casting 5 étoiles, le film offre de belles giclées de sang et pas mal d’action au milieu d’une nature glaçante. Au risque de passer pour la seule personne qui n’a pas aimé le film lol spoiler je dois dire que j’ai pas trouvé trop crédible l’histoire , les coups dans la tête je me dis les coréens sont sacrément résistants ! Mais toute façon je n’aime pas du tout ce genre de film c’est beaucoup trop gore pour moi je savais pas a quoi m’attendre mais j’aurais peut-être pas du le voir c’est très violent quand même ! Mais même sans aimer ce genre de film il y a des scènes moyennement crédibles la musique est agaçante et il dure beaucoup trop longtemps mais c’est vrai que les acteurs sont très bons dans leur rôle.
22 juillet, récit ample et suffocant des événements tragiques d’Utøya en Norvège, bénéficiera en effet suite à sa présentation dans plusieurs festivals d’une « vraie » sortie salles conjointement à sa mise en ligne le 10 octobre.
Euphoria : La Saison 2 Fait Toujours Plus Daccros, La Saison 3 Confirmée
Plus de 100 salles aux USA, et une sortie limitée dans plusieurs pays d’Europe, pour ce qui constitue l’un des titres « Originals » les plus marquants de cette année 2018. Bepolar.fr respecte les droits d’auteur et s’est toujours engagé à être rigoureux sur ce point, dans le respect du travail des artistes que nous cherchons à valoriser. Les photos sont utilisées à des fins illustratives et non dans un but d’exploitation commerciale. Et nous veillons à n’illustrer nos articles qu’avec des photos fournis dans les dossiers de presse prévues pour cette utilisation. Cependant, si vous, lecteur – anonyme, distributeur, attaché de presse, artiste, photographe constatez qu’une photo est diffusée sur Bepolar.fr alors que les droits ne sont pas respectés, ayez la gentillesse de contacter la rédaction. C’est parti pour un voyage au bout de l’horreur quelque part entre Tex Avery et le torture porn. Un thriller sud-coréen sous hormone à la fois gore, implacable et facétieux. Parce qu’une autre personne est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.
La découverte dans ce domaine, c’est que l’histoire des Windsor est plus proche de Détective que de Point de vue. Le premier est le contexte historique de l’Angleterre, et de sa place dans le monde, au fil des années. On découvre ainsi, si on est comme moi assez ignorant sur le sujet, les subtilités de la crise du canal de Suez, la valse des premiers ministres ou le fonctionnement étrange du Commonwealth. En voyant ses films précédents, on avait bien détecté chez lui une virtuosité extrême dans la mise en scène, et notamment dans les mouvements de caméra. Je ne peux pas dire que j’ai vraiment apprécié cet exercice de style un peu tape-à-l’oeil, qui a pourtant eu l’honneur d’une sélection à Venise.
Léquipage Dedens Zero Repart Dans Le Cosmos Pour Une Saison 2
La pression qui gagne tous les personnages est communicative et finit par se transmettre au spectateur lui-même. Tout cela se suit avec grand plaisir tant le scénario est finement ciselé. Mais les différences ne sont pas si énormes alors pas grave si on connait pas les deux. En attendant d’avoir vu le film, il est toujours possible d’en savoir plus sur le film en revoyant la bande annonce. J’ai rencontré le diable est un drame de 2010 , d’une durée de 142 minutes réalisé par Kim Jee-Woon .
- Une enquêtrice suisse dépêchée pour enquêter sur la mort de deux soldats nord-coréens se rend compte que les divers témoignages des suspects rendent son travail impossible…
- Le premier est le contexte historique de l’Angleterre, et de sa place dans le monde, au fil des années.
- Cela se traduit par un course effrénée vers le sadomasochisme où flic et tueur se présentent très vite comme une substance indifférenciée.
- D’un côté un jeune truand dont on a tué la soeur et qui s’est vengé en agressant un boss de la pègre, de l’autre une jeune fille atteinte d’une maladie incurable.
- La plateforme aux grandes oreilles proposera elle aussi un documentaire musical et ce dernier est attendu depuis plusieurs années.
- Créateur du site un soir où je ne trouvais pas ce que je voulais, je veux depuis partager toutes les infos sur le cinéma asiatique.
- Presque tous les films et séries coréens que nous avons couverts jusqu’à présent ont une forte composante de genre, etBurningest plus proche de ce que nous appelons le cinéma d’art et d’essai indépendant.
- Porté par un casting 5 étoiles, le film offre de belles giclées de sang et pas mal d’action au milieu d’une nature glaçante.
- Tout cela n’est pas follement joyeux, on en conviendra, mais n’est pas non plus bouleversant.
Ces 10 films et séries coréens, deParasiteàDernier train pour Busan, sont un complément idéal au hit du moment, Squid Game, et pour connaître la pertinence de cette industrie. Ring, à ne pas confondre avec The Ring qui est son remake américain, est un film japonais sorti en 1998. Une journaliste enquête sur les morts mystérieuses liées à une étrange cassette vidéo. Le pitch de Ring est assez simple, et c’est probablement ce qui fait son succès. Tout le monde connaît aujourd’hui la jeune femme aux longs cheveux noirs qui sort de l’écran de télévision. Véritable phénomène de la pop-culture, le fantôme de Sadako a été repris et détourné de nombreuses fois. Qui plus est, le film est d’autant plus intrigant qu’il baigne dans la culture nippone, et offre une autre conception de l’horreur Un must-seen pour quiconque veut parfaire sa culture cinématographique. Chaque hiver en Alaska, les habitants connaissent un mois sans soleil. C’est à ce moment qu’un groupe de vampires décide de débarquer dans la petite ville de Barrow et de massacrer tout le monde.
Dernières Critiques
Première série coréenne à s’imposer en tête du top 10 de Netflix, Squid Game est le succès surprise de la rentrée, qui a pris de court la critique et le public. Ainsi, que Kim Jee-woon, qui avait rameuté environ sept millions de spectateurs avec ses deux précédents films coréens, fasse un score aussi faible n’a rien de rassurant. Vendu à Netflix à l’international, il s’était avéré être très loin du chef d’oeuvre espéré. Dès lors, si on avait particulièrement grogné à l’idée de ne pas voir le film en salle, on avait finalement compris la démarche de la production coréenne qui pouvait empocher le gros en revendant un film décevant à Netflix, pas toujours le meilleur juge niveau qualité.
Attention, descente aux enfers surpuissante à l’horizon qui montre que la Corèe du Sud en a dans le pantalon et dont les scènes de violence font passer Gaspar Noè pour un enfant de choeur! Rien d’ètonnant que le comèdien soit considèrè par les puristes comme l’un des meilleurs acteurs au monde (Ivre de femmes et de peinture, “Old Boy”…) en … Cet événement apparaît d’abord comme le moteur principal de Hellbound.
Tous écrans confondus, la rencontre a été regardée par 20,7 millions d’individus. Alfonso Cuaron, habitué aux superproductions américaines, s’est lancé un véritable défi en voulant tourner un récit intimiste de 2h15, en noir et blanc, avec des acteurs inconnus. C’est d’ailleurs ce qui l’aurait conduit, selon lui, dans les bras de Netflix. Aussi vite oublié que vu, Marriage story est un nouvel exemple de l’incapacité de Netflix à produire un très grand film. Enfin, le troisième niveau, qui est bien sûr le sujet principal de la série, ce sombre coeur qui palpite en son centre, c’est la royauté, qui justifie tout et n’excuse rien.
De captivante, l’intrigue passe à intéressante lorsque l’action se déplace à Berlin. Les personnages virent doucement à la caricature, les effets de surprise s’estompent et l’intérêt faiblit. Notre curiosité est piquée et on découvre, pour peu qu’on soit novice dans le domaine, les schtreimels, les mikvés et autres mezouzas. L’actrice qui joue la jeune fille en voie d’émancipation est magnétique. On mesure parfaitement l’incroyable pression qu’exerce la religion sur le corps et l’esprit des femmes. Voici un nouvel exemple de la “fausse bonne série” à la Netflix, qui rejoint une catégorie déjà bien fournie. Alors que la Chine tente de conquérir la Corée, le roi Injo et ses hommes refusent de se rendre et se tiennent retranchés dans une forteresse perdue dans les montagnes. Mais les rangs chinois grossissent de jour en jour et le rapport de force semble très déséquilibré… Je dirais qu’il ne faut pas qu’il se situe entre thriller et horreur, avec un certain degré d’humour noir.
Catching Killers, Le 4 Novembre Sur Netflix
Glauque, dérangeant, terriblement nihiliste, cet objet de fureur ne se contente pas de simplement aligner les …
Il tient l’un des rôles principaux de la fresque historique et politique The Age of Shadows, chef d’œuvre de Kim Jee-woon, réalisateur connu pour sa capacité à s’emparer de différents genres, de l’horreur au policier en passant par le western spaghetti et la science-fiction. Dans ce nouveau programme dans la lignée de Battle Royale et Alice in Bordeland, 456 joueurs endettés acceptent de s’affronter lors de jeux pour enfants aux enjeux mortels. Chacun est prêt à risquer sa vie pour décrocher un prix de 45.6 milliards de won (soit 32 millions d’euros). Vous avez aimé la série dont tout le monde parle et vous souhaitez prolonger l’expérience? Voici quelques films pour retrouver les stars de la série du moment. Extracurricularest une étudede cas sur la façon dont Netflix transforme sa production locale en dehors des États-Unis en phénomènes internationaux très similaires à ceux qu’elle a générés aux États-Unis. C’est l’histoire d’un lycéen qui implique ses amis dans un complot criminel tordu. L’intrigue de My Name est riche de sous-intrigues qui laissent parfois la vengeance initiale de côté, mais le but de la série n’est pas seulement de montrer le parcours initiatique de Ji-Woo. Celui-ci est par ailleurs éclipsé assez rapidement pour laisser la guerre des gangs – véritable enjeu du milieu de saison – se déployer.
Bong Joon-ho (réalisateur de longs métrages commeOkjaouSnowpiercer) nous a bluffé avec cette histoire violente de privilège et de classisme (qu’il vaut mieux regarder sans rien savoir). Accueilli très froidement par la critique et par le box-office coréen lors de sa sortie en salle, on sait déjà que le film du réalisateur de The Age of Shadows, J’ai rencontré le diable ou encore Le bon, la brute et le cinglén’est semble t-il pas aussi réussi qu’on aurait pu l’espérer. Yeon Sang-ho, le créateur de Hellbound, s’est affirmé sur la scène internationale avec Dernier train pour Busan, présenté à Cannes en 2016. Kim Jee-woon avait remporté en salle des succès comme A Bittersweet Life ou J’ai rencontré le diable, avant de donner naissance à Dr Brain. On y trouvera aussi, comme dans Squid Game, une fascination dérangeante pour le passage de la vie à la mort, ses enjeux, ses modalités. Autant dire que le recours au contrôle parental est recommandé dans les deux cas. Dans le sillage du succès de Squid Game sur Netflix, Apple TV+ diffusera dès le 4 novembre une autre série sud-coréenne baptisée Dr Brain. Inspirée d’un podcast homonyme, cette mini-série américaine est tirée d’une histoire vraie. Elle raconte la relation étrange entre le psychologue Dr. Ike et son patient Marty, le premier ayant manipulé le second durant des années. Petit à petit, il va étendre son emprise sur sa façon de penser, ses fréquentations, son travail et sa vie amoureuse.
Drôle de parcours que celui du hongrois Kornel Mundruczo, du cinéma d’auteur exigeant et fantastique à ce mélodrame Netflix calibré pour gagner aux Oscars. Après ce bon début, la série flotte un peu en fin de premier épisode et au début du deuxième.
Tout comme elle, de nombreuses employées philippines travaillent dans le quartier fortuné. Quand Evie se révolte pour un retard de paie, elle se rend compte que Sarah est ruinée.
Squid Game permet à un public peu familier du cinéma sud-coréen de découvrir le travail du réalisateur Hwang Dong-hyeok, le créateur de la série, et des acteurs comme Gong Yoo et Lee Jung-jae, qui sont d’immenses stars au pays du matin calme. En quelques semaines seulement, Squid Gamede Netflixest devenu un phénomène mondial, rejoignant cette bonne poignée defilms et de séries coréensqui ont marqué la pop culture du 21e siècle. Est-ce une pure coïncidence ou bien les autres plateformes courent-elles après le succès de Netflix avec son “Squid Game”, mais en tous cas les séries coréennes se multiplient ce moment… Ce qui n’est évidemment pas pour nous déplaire, vues les qualités du cinéma du Pays du Matin Calme. Apple TV+, qui a quand même tendance, malgré ses investissements lourds dans les séries TV « de prestige », à louper tous les coches, pour le moment, a ainsi mis en ligne sur novembre / décembre les 6 épisodes d’une production maison, “Dr. Brain”, qui… Presque tous les films et séries coréens que nous avons couverts jusqu’à présent ont une forte composante de genre, etBurningest plus proche de ce que nous appelons le cinéma d’art et d’essai indépendant. Il s’agit de l’adaptation d’une histoire d’Haruki Murakamiqui aborde le passe-temps étrange de trois jeunes issus de contextes sociaux différents.
Vod : J’ai Rencontré Le Diable
De quoi programmer des heures de binge-watching sous la couverture. Oh Yeong-su a débuté sa carrière au théâtre en 1967 et a joué dans plus de 200 pièces. L’acteur de 76 ans s’est tardivement mis au cinéma, où il a souvent joué des moines bouddhistes. Un rôle assez différent de celui qu’il tient dans Squid Game, où il incarne un vieillard facétieux condamné par la maladie. Probablement l’épisode le plus célèbre de la série, Evil Dead 2 signe le retour d’Ash Williams face aux démons éveillés par le Necronomicon.
Une jeune recrue des services secrets sud-coréen prend en chasse un serial-killer responsable du meurtre de sa fiancée enceinte. S’opposent alors une vengeance implacable et un esprit torturé et intrinsèquement machiavélique. Ce n’est pas un thriller du tout, Barbare, cruel, avec des scènes crues, le genre gore n’est bon que si le scénario est parfaitement solide, en tout cas cela peut choquer une certaine catégorie. Rock, cinéma, BD, littérature, coups de cœur et coups de rage, tout ce qui permet à un Pokémon de survivre dans un monde en perpétuelle crise… Pour aimer le film, mieux vaut donc aimer les flots incessants de parole, le montage speed, les surimpressions sonores, la caméra à l’épaule et l’impression générale d’assister à la course d’un poulet sans tête à qui l’on aurait donné des amphétamines.
Programme Tv De France 3
Lee Jung-jae est surtout l’une des stars de The Housemaid , remake d’un classique du cinéma coréen sorti en 1960. Cette sombre histoire d’une servante mise enceinte par le patron de la maison est un thriller érotique claustrophobe qui se déroule entièrement dans une maison gigantesque aux pièces multiples. Remake du film norvégien éponyme, l’itération US nous emmène en Alaska, et raconte l’histoire de Will Dormer, un inspecteur aux méthodes peu scrupuleuses qui enquête sur le meurtre d’une jeune adolescente. Plus thriller qu’horreur, Insomnia confirme le talent et la vision singulière de Christopher Nolan, qui a ici le luxe de s’offrir deux monstres du cinéma que sont Al Pacino et le regretté Robin Williams. La mise en scène n’a donc pas la précision des chefs-d’oeuvre de la grande époque , elle est même assez quelconque. Cela ne gâche pas le plaisir que procure la vision de ce film fleuve qui aurait probablement mérité un traitement en mini-série.
Celle-ci concerne Dongcheon et un nouveau parrain, dont le destin est lié à celui de Ji-Woo. Cette partie, certes moins intéressante, permet de faire éclore un personnage aussi cruel que charismatique et crée une belle transition vers une fin de saison riche en rebondissements. En huit épisodes, ce polar musclé nous immerge au sein de la pègre coréenne, sa violence et ses costumes de luxe.
Après « Squid Game », deux nouvelles séries utilisent l’horreur pour explorer la condition humaine. Il est facile de manquer le dernier plan de “A Bittersweet Life”, et, du coup, de passer à côté du film. D’ailleurs, c’est exactement ce qui m’était arrivé la première fois que j’avais vu le film. En attendant la première diffusion de Dr Brain, une affiche a été diffusée sur les réseaux sociaux, suivie d’une bande-annonce qui a révélé les premières images de cette histoire déroutante. Dans un laboratoire aseptisé, Sewon se retrouve vite tourmenté par la multitude de souvenirs de sa femme et son fils qui se bousculent dans sa tête. Les bagarres et mauvaises rencontres se multiplient à mesure qu’il avance dans sa quête. On ne peut s’empêcher toutefois de constater que le propos est insignifiant, que la tension dramatique s’étiole et que le film brille par son absence totale d’originalité.
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La petite histoire (la destinée d’un tueur anonyme) rencontre la grande , et forme un ensemble qui se dévore, comme une série. La mis en scène de Kim Seong-Hun est virtuose, et le casting est impressionnant. On y retrouve par exemple la grande Doona Bae, qu’on a vue dans Sense 8 mais aussi chez Park Chan-Wook, Bong Joon-Ho et Hirokazu Kore-Eda. S’il faut deux épisodes pour situer correctement tous les personnages les uns par rapport aux autres, le plaisir est ensuite immense.
Commencent alors d’étranges événements et des révélations macabres qui vont bouleverser la soi-disante paisible communauté d’Inveree. Avec un pitch qui ressemble à Hot Fuzz, Let Us Prey s’avère être une expérience haletante gore et trash à souhait qui prend un malin plaisir à noircir l’image d’une jolie petite communauté… Au casting de ce nouveau film on retrouveJang Dong-Gun, Kim Myung-Min et Lee Jong-Suk. On se retrouve ici en partie en Corée du Nord où le fils d’un officiel nord-coréen très haut placé est suspecté de commettre des meurtres tout autour du globe. La Corée du Nord fait alors alliance avec la Corée du Sud et Interpol afin de le stopper. Chaque jour, la rédaction et l’ensemble des métiers de Télérama se mobilisent pour vous proposer sur notre site une offre critique complète, un suivi de l’actualité culturelle, des enquêtes, des entretiens, des reportages, des vidéos, des services, des évènements… C’est en voyant la scène finale qu’on comprend que les coréens se limitent moins dans la morale, et sont moins manichéens, excellent film.. Un face à face grandiose, épique entre Lee Byung-hun et Choi Min-sik qui livrent tous les deux une prestation de très haut standing, une virtuosité incroyable dans la mise en scène de ce polar splendide signé Kim Jee-woon. D’une violence assez extrême, un film d’une maîtrise absolue au niveau du scénario et du rythme haletant.
Dans un communiqué de presse, Netflix décrit ce projet comme étant «spontané, drôle, original et authentique ». On y retrouvera des images inédites, d’archives ou actuelles, et des témoignages de ses proches. J’ai rencontré le diable et Ring version asiat sont d’excellents films d’horreurs soupoudrés d’ambiance Thriller. Avec Martyrs, le français Pascal Laugier signe une oeuvre sombre, viscérale et réaliste. 15 ans plus tard, elle exécute de sang froid une famille qu’elle soupçonne d’avoir commis les atrocités dont elle a été victime. L’intrigue du film se dévoile au fur et à mesure, et offre un récit cru, sans filtre, sur la mort et l’au-delà. Martyrs contient des séquences lourdes qui en font un film à ne pas mettre entre toutes les mains. Après les films d’horreur et le thriller, place au thriller horrifique avec Let Us Prey, une production irlandaise plutôt originale. Dans le petit village d’Inveree, en Écosse, une policière entame son service de nuit lorsqu’elle assiste à un étrange accident. Si elle arrête le conducteur, l’inconnu qui s’est fait renversé disparaît mystérieusement, avant de réapparaître plus tard au poste de police.
Il incarne au cours de six épisodes un scientifique appelé Sewon, qui perd sa famille dans un dramatique accident. « Désespéré de découvrir ce qui s’est passé, il fait des efforts extraordinaires pour résoudre ce mystère tragique en effectuant des “synchronisations cérébrales” avec les morts pour accéder à leurs souvenirs à la recherche d’indices », précise le synopsis de la série. Tout cela n’est pas follement joyeux, on en conviendra, mais n’est pas non plus bouleversant. On est ballotté entre le grand-guignol des scènes de violences (lors desquelles un homme peut se relever après avoir été tabassé à mort et reçu dix coups de couteau) et le charme éthéré et peu amène de l’excellent duo Eom Tae-Go / Jeon Yeo-Bin . Son réalisateur, Park Hoon-Jung, est principalement connu pour être le scénariste du très surestimé J’ai rencontré le diable. On peut le voir en particulier dans Printemps, été, automne, hiver… et printemps . Ce long-métrage d’une grande sérénité signé Kim Ki-duk, considéré comme l’un des chefs-d’œuvre du cinéma coréen, explore le cycle de la vie à travers l’existence d’un moine bouddhiste. Ancien mannequin devenu star du petit puis du grand écran, Lee Jung-jae incarne dans Squid Game le charismatique looser numéro 456. Âgé de 48 ans, il est aussi à l’aise dans le genre romantique que dans la comédie, le mélodrame et l’action. Lee Jung-jae a notamment brillé dans New World , où il incarne face à Choi Min-sik un policier infiltré dans la plus grande organisation criminelle coréenne.
Considéré comme l’un des meilleurs animes de tous les temps, Cowboy Bepop a marqué toute une génération. Les personnages cultes des années 1990 reviennent cette fois dans une série en live-action qui suscite des craintes auprès des fans de la première heure. L’adaptation racontera l’histoire de Spike, Jet et Faye, des chasseurs de prime «toujours stylés et fauchés» qui parcourent le système solaire pour trouver des missions et échapper au passé de Spike. Si Netflix a affirmé son souhait de rendre hommage à l’oeuvre originale, reste à savoir quelles innovations et nouveautés apporteront ce live-action. Composé de dix épisodes, ce dernier est réalisé par Alex Garcia Lopez et Michael Katleman . Park Chan-wook est l’un des cinéastes coréens les plus emblématiques etOld Boyde 2003 l’un des grands chefs-d’œuvre du pays. Il fait partie de la célèbre Revenge Trilogy, et son protagoniste est un homme d’affaires qui a été kidnappé pendant des années. Quelques années aprèsTrain to Busan, Netflix a présenté sa deuxième série coréenne sous les mêmes latitudes et a généré un autre consensus incontestable parmi les critiques et les téléspectateurs. Situé dans la dynastie médiévale Joseon, il raconte comment une mystérieuse maladie épidémique balaie le pays.
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Pas facile de parler de la série de Mike Flanagan sans déflorer une partie de son intrigue, ce qui serait dommageable pour les spectateurs. Après des mois passés loin de la scène, Angèle revient avec son nouveau single, Bruxelles, Je t’aime. Quinze jours avant la sortie de son nouvel album Nonante-cinq, elle se livre dans un documentaire Netflix.